Un tableau commencé l’année dernière et terminé seulement maintenant. Peut-être parce que cette histoire ne finira jamais et le vers d’Apollinaire parce qu’il m’est venu à l »esprit quand j’ai vu de si belles images de l’abominable.
L’Adieu du Cavalier
Ah Dieu ! que la guerre est jolie
Avec ses chants ses longs loisirs
Cette bague je l’ai polie
Le vent se mêle à vos soupirs
Adieu ! voici le boute-selle
Il disparut dans un tournant
Et mourut là-bas tandis qu’elle
Riait au destin surprenant